Danser entre les notes
06 - 07 sept 2023 | Grande salle | Durée : 2h
Rien n'est perdu
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Avec Boštjan Antončič, Anne Teresa De Keersmaeker, Marie Goudot, Julien Monty, Michaël Pomero
Et avec Jean-Guihen Queyras (musicien)
Chorégraphie Anne Teresa De Keersmaeker
Lumière Luc Schaltin
Costumes An D’Huys
Robe d’Anne Teresa De Keersmaeker Anke Loh
Dramaturgie Jan Vandenhouwe
Son Guillaume Jay
Coordination artistique et planning Anne Van Aerschot
Conseil artistique Thierry De Mey
Assistanat artistique à la création Carlos Garbin, Femke Gyselinck
Assistanat à la direction artistique Martine Lange
Régie technique Quentin Maes, Thibault Rottiers
Supervision costume Alexandra Verschueren assistée par Els Van Buggenhout
Habillage Alexandra Verschueren
Direction technique Freek Boey
Musique Jean-Sébastien Bach, Six suites pour violoncelle seul, BWV 1007-1012
Production Rosas
Coproduction De Munt/La Monnaie - Bruxelles, Ruhrtriennale, Concertgebouw Bruges, Philharmonie de Paris/Théâtre de la Ville-Paris/Festival d’Automne à Paris, Sadler’s Wells - Londres, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Opéra de Lille, Ludwigsburger Schlossfestspiele - Bade-Wurtemberg, Elbphilharmonie - Hambourg, Montpellier Danse 2018
Soutien Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge en collaboration avec Casa Kafka Pictures - Belfius
En coréalisation avec La Bâtie - Festival de Genève avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Remerciements Mathieu Bonilla, François Deppe, Palle Dyrvall, Alain Franco, Thomas Hertog, Anke Loh, Kimiko Nishi, Maria Eva Rodriguez, Aurianne Skybyk
« Un spectacle dont émanent une grâce, une impression de naturel et de liberté qui fascinent. » La Terrasse
« Anne Teresa De Keersmaeker presented an austere and captivating dance set to Bach’s cello suites. » NYC times
« Un moment de pure magie. » Le Soir
« La musique de Bach accompagne l’art d’Anne Teresa De Keersmaeker depuis longtemps. La preuve en majesté par Mitten wir im Leben sind. » Les Inrocks
« Tandis que ses volutes incorruptibles s’allient avec Bach, l’émotion monte doucement mais sûrement devant tant de passion intacte. »
Le Monde